Chaque année, la période des fêtes est l'une des plus chaleureuses… mais aussi l'une des plus accidentogènes. Entre repas prolongés, verres qui s'enchaînent et routes de nuit, les risques augmentent fortement.
Pourtant, les accidents liés à l'alcool au volant ne sont pas une fatalité : ils se préparent, se préparent et surtout… se préviennent.
L'alcool reste l'une des premières causes de mortalité routière
En France, près d'1 accident mortel sur 3 implique un conducteur alcoolisé. Une donnée qui ne baisse pas, et qui augmente pendant les périodes festives.
Dès 0,5 g/L, on observe :
Des temps de réaction rallongés
Une vision moins précise
Un sentiment de confiance excessive
Un jugement altéré
Autour de 0,8 g/L, le risque d'accident est multiplié par 8 à 10 selon les études. Le danger augmente très vite… bien avant que l'on "se sente" diminué.
Pendant les fêtes : on anticipe
Pour profiter pleinement tout en restant en sécurité, quelques réflexes suffisent :
Désigner un conducteur sobre avant la soirée : Le "Sam" évite les discussions de fin de soirée et les mauvaises décisions.
Prévoir une solution de retour : Taxis, VTC, dormir sur place, transports en commun, covoiturage avec un conducteur qui ne boit pas… Tout sauf reprendre le volant.
Ne jamais se fier à son ressenti : On peut se sentir "bien" et être largement au-dessus du seuil légal. Un éthylotest reste la seule indication fiable, même au réveil.
Empêcher quelqu'un de repartir s'il a bu : C'est parfois un moment délicat… mais c'est un geste qui peut sauver une vie. Une vraie preuve d'amitié.
L'ACGS vous accompagne toute l'année
Nos équipes sont aux côtés des conducteurs pour les litiges, les pertes de points, les contestations… Et nous voyons trop souvent les conséquences d'une mauvaise décision prise en fin de soirée.
Alors pendant les fêtes, on s'organise, on anticipe, et on rentre en sécurité.
L'important, c'est que tout le monde arrive. Et que tout le monde revienne.
Publié le 23/12/2025